
La confiture… notre Madeleine Proust à nous…
Quelle soit de cerises, mirabelles, de reine-claude, de coing, de quetsches, de mures, de raisins…
Elle trouve toujours preneur pour régaler touristes, visiteurs, ou pélerins…
On peut ainsi échanger nos recettes, nos façons de faire transmises par des générations.



Confiture d’exception, celle d’orange amère, a été réalisée en ce début d’année, dès le mois d’avril ayant pu récupérer 35 kg des précieux fruits du soleil dans le Sud.
Une belle expérience, mais que de boulot, avec les pépins notamment… Poids pour poids. Evider les oranges, récupérer les noyaux en les mettant dans un filet, durant les 2 heures de cuisson. Emincer 1/4 du total, en coupant en lamelles la peau des oranges, et l’intégrer à la cuisson dès le début.























En conclusion, il faut des fruits de saison, cueillis à maturité, donc gorgés de soleil, et le résultat est à la hauteur…
Les pélerins gardent toujours un souvenir ému des petits déjeuners où ils ont le choix de confitures, et les apprécient sur les tartines grillées, ou en accompagnement de la traditionnelle semoule, avant les kilomètres à avaler à pied ou bien à vélo…




Avec une année exceptionnelle en production de fruits, il était indispensable de ne pas les laisser pourrir sur place, donc 2025, sera LA grande année pour la réalisation de confitures, de bocaux ou pour prolonger la saison d’en mettre une partie au congélateur.